Depuis l’officialisation de l’augmentation des prix de la viande et du pain par la commune, une flambée générale des tarifs des produits de première nécessité s’observe sur les marchés. Le prix de la viande est passé de 40 000 à 45 000, tandis que le pain est passé de 2 500 à 3 000. En conséquence, d’autres denrées comme le poulet et le poisson ont également enregistré une hausse de 5 000 de plus.
Une Population à Bout
Face à cette augmentation soudaine, les citoyens expriment leur détresse et dénoncent une situation qui devient insoutenable. Dans les rues et les marchés, les plaintes fusent :
« Nous n’arrivons plus à joindre les deux bouts. Chaque jour, les prix montent, et nos revenus restent les mêmes. Comment allons-nous nourrir nos familles ? », s’indigne une mère de famille rencontrée devant une boulangerie.
Ça devient difficile, vraiment, parce qu’on n’arrive même pas à avoir le plaisir de manger. C’est difficile, surtout que si l’autorité, ils sont là. Surtout le Ramadan, ils doivent diminuer. Mais si c’est le même, c’est difficile. Très, très difficile. Très, très difficile, vraiment. Nous, quand même, nous implorons les autorités d’où qu’elles viennent à l’aide, parce que c’est comme ça partout. s’indigne un citoyens de la villes au grand marché. Salihan kourouma
« C’est incompréhensible ! Tout augmente en même temps, sans aucune mesure d’accompagnement. Les autorités doivent réagir avant que la situation ne dégénère. » Un citoyen de la villes samba diallo.
Les Autorités Pointées du Doigt
Face à cette flambée des prix, les citoyens accusent les autorités locales de ne pas anticiper les répercussions de leurs décisions. Certains estiment qu’aucune mesure n’a été prise pour limiter l’impact de ces hausses sur les ménages les plus vulnérables.
En attendant, les citoyens continuent de subir cette flambée des prix, avec une inquiétude grandissante sur leur avenir économique.